Il y a beaucoup de variantes des coutumes, (minhag) pour les mariages dans les différentes communautés juives. Par exemple les Séfarades ceux sous la chouppah habituellement sont assis, tandis que dans la plupart des mariages Achkenaze, tout le monde sous la chouppah reste debout. Pendant la cérémonie, le couple et leurs invités sont habitués à faire face au rabbin, mais dans certaines communautés, le couple sont assis sur des grand chaises, comme des trônes et font face à leur invités pendant que le rabbin se tient entre les deux. Il est d’usage que le marié et la mariée ne se rencontrent pas le jour avant la cérémonie, d'autres disent pas durant la semaine précédant le mariage. Chacun, séparément, reçoit les invités juste avant la cérémonie. Pour les Séfarades, la cérémonie civile suivie du henné. En France souvent le marié se couvre de son châle de prière, (le talit) mais ce n'est pas obligatoire. Le marié retrouve sa future épouse et pose une voile sur son visage, (le badeken). Cela évoque également Rebecca, voilant son visage avant d'épouser Isaac. Cela fait aussi référence à l’histoire de Jacob qui se retrouva marié à son insu à la soeur de sa promise Rachel. Traditionnellement, au debut de la cérémonie religieuse, la future mariée, si elle est achkénaze, tourne autour de son époux sept fois, ce qui rappelle les sept jours de la création du monde ou encore les sept fois où sont écrites dans la Torah « et quand l'homme prend une femme ». A la fin de la cérémonie, le marié casse avec le pied un verre posé sur le sol et tout le monde crie « Mazel-Tov ». Si les futurs conjoints, appartenez à deux rites différents, il est d’usage d’adopter celui du fiancé.